Politique macro-économique

Des moyens nouveaux de financer la réalisation de l’Agenda 2063 et des objectifs de développement durable en Afriquedurable Afrique

La croissance et le développement de l’Afrique sont actuellement pilotés à l’aide de deux programmes mutuellement inclusifs, les objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies et l’Agenda 2063. On attend de la réalisation de ces deux programmes une croissance inclusive s’appuyant sur une transformation structurelle des économies africaines. Mais le financement demeure une contrainte majeure qu’il ne faut jamais perdre de vue dans la mise en oeuvre des deux programmes.

Les réformes visant à améliorer l’imposition des entreprises multinationales en Afrique

La présente note de synthèse contient une analyse des problèmes que « l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices » par les sociétés multinationales posent à l’Afrique2. Elle fait fond sur le rapport du Groupe de haut niveau sur les flux financiers illicites en provenance d’Afrique (Union africaine et CEA, 2015), pour voir, au-delà de l’analyse faite dans ledit rapport de la manière dont l’érosion de la base d’imposition et le transfert de bénéfices sont effectués en Afrique, les politiques spécifiques qui peuvent être mises en oeuvre pour enrayer ces flux illicites.

2020 examen des progrès accomplis dans la mise en œuvre du Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2011-2020

L’Afrique est la région qui compte le plus grand nombre de pays les moins avancés au monde. Le Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2011-2020 revêt donc une importance considérable pour le continent. Articulé autour de huit domaines prioritaires, il définit les objectifs, les aspirations et les actions que doivent poursuivre tant les pays les moins avancés que leurs partenaires de développement, afin de promouvoir le développement durable de ces pays qui abritent les populations les plus vulnérables et les moins aisées du monde.

Réglementation financière et croissance inclusive en Afrique

Le secteur des services financiers est souvent perçu comme jouant un rôle décisif dans le financement du développement. Toutefois, l’expérience acquise de longue date et les ouvrages scientifiques sont loin d’indiquer clairement comment la croissance dans les différents secteurs des services financiers affecte le développement économique et social. Tant le Programme d’action d’Addis-Abeba que le Programme de développement durable à l’horizon 2030 rappellent l’importance d’une bonne maîtrise du secteur financier si l’on vise le développement durable.

Harmoniser le programme de développement durable à l’horizon 2030 et l’agenda 2063 avec les cadres de planification en Afrique

L’année 2016 marque le commencement de la mise en oeuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030 (Programme 2030) et de ses objectifs de développement durable, qui constituent un nouveau programme basé sur les trois dimensions du développement durable : économique, sociale et environnementale. Le développement durable est également un thème central de l’Agenda 2063, qui fixe le cadre continental du développement, et de l’Accord de Paris sur le climat, conclu à la vingtet-unième réunion de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements cl

Progrès dans la mise en oeuvre des domaines prioritaires du Programme d’action d’Istanbul en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2011-2020

Les pays les moins avancés (PMA) sont ceux qui sont confrontés aux plus graves obstacles dans les efforts qu’ils déploient en vue d’une croissance inclusive et d’un développement durable. Dans l’ensemble, les PMA ont fait des progrès dans les domaines prioritaires retenus dans le Programme d’action en faveur des pays les moins avancés pour la décennie 2011-2020 (le Programme d’action d’Istanbul), mais certains d’entre eux étaient partis d’une base de référence très faible et il y a de très grandes variations d’un pays à l’autre.

Stabilité du taux de change, réserves de change, politique monétaire et anticipations : le cas du Kenya

L’objectif de la présente étude est double : premièrement, enquêter de manière empirique sur l’incidence des instruments de politique monétaire sur le taux de change nominal et le taux de change réel ; deuxièmement, évaluer l’incidence des anticipations, des spéculations et d’autres fondamentaux macroéconomiques sur les taux de change nominal et réel. De plus, l’étude examine les facteurs déterminants des réserves de change à l’aide d’une série chronologique de données mensuelles sur la période 2000-2017.

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