Le financement du développement en Afrique s’est révélé difficile dans le passé, le continent étant obligé de dépendre de sources extérieures, notamment de l’aide publique au développement (APD). Ce type d’aide est souvent inégalement réparti, non viable et même, dans certains cas, néfaste pour les économies nationales à long terme.
Principal objectif et fonctions du secrétariat
Le secrétariat apporte une assistance au Comité technique tout au long du processus; il fournit des services de secrétariat au Groupe de haut niveau et apporte un appui de fond au Comité technique
Les fonctions précises du secrétariat sont:
Le Comité technique se composera de membres provenant des divisions compétentes de la CUA et de la CEA qui participent directement aux activités liées à la lutte contre les flux financiers illicites et de conseillers externes. Sa structure institutionnelle sera la suivante:
Président
Le Secrétaire exécutif adjoint de la CEA, M. Abdalla Hamdok
Membres
Deuxième Président de l’ère post-apartheid en Afrique du Sud, M. Mbeki a été élu à deux mandats présidentiels successifs, du 14 juin 1999 au 24 septembre 2008. Il a été Président du Congrès National Africain de 1997 à 2007. Il a par ailleurs occupé le poste de Président de l’Union africaine en 2002-2003. M. Mbeki est titulaire d’une Maîtrise en Économie de l’Université de Sussex.
1. Les flux financiers illicites en provenance de l’Afrique sont devenus un sujet de grande préoccupation en raison de leur ampleur et de leurs effets négatifs sur le développement et la gouvernance en Afrique. D’après certaines estimations, ils pourraient atteindre 50 milliards de dollars américains par an, soit près du double de l’aide publique au développement (APD) que reçoit le continent.
Addis Abeba, le 26 janvier 2015 (CEA) - Le Groupe de haut niveau sur les flux financiers illicites en provenance d'Afrique, présidé par l'ancien Président sud-africain Thabo Mbeki, lance son rapport final, le 1er février 2015, au Centre de conférences des Nations Unies, à Addis-Abeba, en Éthiopie.
Le rapport sera lancé après sa soumission à l'Assemblée de l'Union africaine (UA), le 31 janvier 2015.
Les flux financiers illicites en provenance de l’Afrique sont devenus un sujet de grande préoccupation en raison de leur ampleur et de leurs effets négatifs sur le développement et la gouvernance en Afrique. D’après certaines estimations, ils pourraient atteindre 50 milliards de dollars américains par an, soit près du double de l’aide publique au développement (APD) que reçoit le continent. Mais en fait, ces estimations pourraient être en deçà de la réalité, puisqu’on ne dispose de données précises ni sur l’ensemble des transactions en cause ni sur tous les pays africains concernés.