L’Afrique crée l’avenir qu’elle veut à travers APRM

Lusaka, 21 novembre 2013 (CEA) -  Le récit  sur le développement  de  l’Afrique n’a pas changé par coïncidence ,mais a travers le travail dur , l’engagement et mécanisation institutionnelle en particulier sur la gouvernance dit  le Directeur de la Commission Economique pour l’Afrique , le Bureau  Régional de l’ Afrique Australe , Said   Adejumobi.

Parlant  lors de l’ouverture d’une réunion d’Expertise  sur la promotion des codes et niveaux  du Mécanisme de Révisé des pairs Africain (APRM)  sur la bonne Gouvernance en Afrique Australe , Adejumobi a cité the Mécanisme Révisé  des pairs  comme la tentative innovatrice de L’Afrique de promouvoir la bonne gouvernance sur le continent . « Le APRM est non-adversaire , l’auto-évaluation et le processus support de pair du changement dela gouvernance . Il a existé pendant plus de dix ans et a fait des contributions très utiles aux reformes de la gouvernance en Afrique . a-t-il dit.

Au niveau politique ,Adejumobi a dit que l’Afrique a embrassé la démocratie libérale avec toutes  ses imperfections : démocratie multipartites, libéralisation du media , l’expansion de la société civile et l’augmentation de contrôle  et équilibre  parmi les institutions démocratiques africaines.

En plus il a indiqué  que la bonne gouvernance avait aussi étendu a  la gouvernance économique au niveau national avec plus de bonne gouvernance économique a travers des politiques micro-économiques améliorées , contrôle de l’inflation ,réduction dans la corruption  , l’augmentation dans les revenues de taxes et l’exportation élevée de matières premières.

« Il est  maintenant a la connaissance du public que pas moins de six pays africains sont parmi les pays dont la croissance est le plus rapide  dans le monde ,et que l’Afrique est peut-être le seul continent qui était isolé de la crise économique mondiale avec une moyenne du taux de croissance du PIB de 5% sur  une décennie et demie » a-t-il dit.

Adejumobi a dit que des reformes de gouvernance au niveau national comme ayant eu une grande avancée  des niveaux et cadres régionaux . Cependant il a dit qu’ il y avait pour APRM de s’interroger sérieusement  sur l’économie and la  gouvernance d’entreprise en Afrique.

Pendant que l’Afrique a fait le progrès remarquable sur le front économique , plusieurs défis abondent qui nécessite  des reformes plus profondes . Par exemple , le frais  de faire le commerce est toujours  très élevé en Afrique comparé   aux régions du monde . Corruption de nature publique ainsi que privée reste un handicap de développement d’entreprise et  la croissance économique durable en Afrique . Des déficits énormes de l’Infrastructure  surtout de l’énergie, routes et transport  augmentent les frais et volume de production pour les entreprises privées et la capacité gouvernementale de régler le secteur privé reste en dessous  dans beaucoup de pays.

La réunion technique   qui a emmené ensemble les experts régionaux sur la gouvernance était un suivi de deux  initiatives antérieures ,y compris une formation sur l’Economie et la Gouvernance de l’entreprise et  responsabilité financière  en Afrique Australe : et une Réunion Ad-hoc d’un groupe d’expertise sur le statu de Gouvernance en Afrique Australe, tenue en 2005 et 2006 respectivement.

Le point de cette réunion de trois jours ci-dessus tenue du 20 au 22 novembre en Afrique du Sud cherchait d’évaluer le statu et  application des codes et niveaux du APRM  dans la sous région principalement , ceux des autres codes et niveaux complémentaires  dans les indications de OECD, les Rapports rois ,et l’Association du Commonweatlh pour les indications de la gouvernance de l’entreprise..

La réunion a aussi regardé sur l’étude du rapport qui a examiné les problèmes et défis , structurels et institutionnels qui retarde l’adoption et adaptation de la clé  de codes et niveau APRM dans les onze pays de l’Afrique Australes couverts par le bureau de ECA-SA.

ECA a promis d’apporter le support aux Etats Membres a chaque niveau du processus révisé jusqu'à l’intégration et   harmonisation des recommandations révisées dans le Programme National d’Action(NPoA) et d’autres cadres et processus  de développement.