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Background
L'Accord de Paris offre une excellente occasion de renforcer la réponse mondiale à la menace du changement climatique et dans le contexte du développement durable. Jusqu'à présent, 44 pays africains ont ratifié l'Accord de Paris.
Fondé sur une approche ascendante des contributions déterminées au niveau national (NDC) à l'action climatique élaborée sur une base volontaire par les Parties à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), l'Accord de Paris fournit un cadre aux pays signalant leur intention et leur niveau. l'ambition de lutter contre le changement climatique en fonction du contexte national, des priorités de développement, des capacités et des circonstances. Cela représente un changement important dans la procédure globale de lutte contre le changement climatique. À l'instar de tout nouveau processus d'expérimentation avant l'adoption, il est inévitable que les engagements du NDC soient traduits en mesures concrètes et efficaces.
The Paris Agreement offers a dynamic but durable framework for increasing climate action over time. One of the sources for this dynamism is the “global stocktake“ – a moment every five years for all countries to pause and account for what has been achieved so far, and what must still be done, to achieve the goals of the Paris Agreement. The global stocktake is a key element in the ambition mechanism of the Agreement; it will provide countries with the basis for strengthening their actions and submitting new national climate commitments in the two years following each successive global stocktake. In preparation for these stocktakes the Paris Agreement provided for the global facilitative dialogue to be held in 2018. At COP23, under the presidency of Fiji, the 2018 facilitative dialogue was enabled and coined the Talanoa Dialogue which aims to bring all Parties and stakeholders in an inclusive, participatory and transparent international conversation on where Parties are with their climate actions, where they want to be and how to get there?
L'Accord de Paris offre un cadre dynamique mais durable pour accroître l'action climatique au fil du temps. L'une des sources de ce dynamisme est le «bilan mondial» - un moment tous les cinq ans pour que tous les pays prennent une pause et expliquent ce qui a été accompli jusqu'à présent et ce qui doit encore être fait pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. Le bilan mondial est un élément clé du mécanisme d'ambition de l'Accord; il fournira aux pays la base pour renforcer leurs actions et soumettre de nouveaux engagements climatiques nationaux dans les deux années suivant chaque inventaire mondial successif. En préparation de ces bilans, l'Accord de Paris prévoyait le dialogue mondial de facilitation en 2018. A la COP23, sous la présidence de Fidji, le dialogue de facilitation de 2018 a été activé et a inventé le Dialogue Talanoa qui vise à amener toutes les Parties et parties prenantes Dialogue international inclusif, participatif et transparent sur l'endroit où les Parties mènent leurs actions en faveur du climat, où elles veulent être et comment y parvenir?
Sans un soutien substantiel, il serait hautement improbable que les pays africains atteignent les buts et objectifs définis dans leurs CDN. En outre, il est important d'aligner la mise en œuvre du NDC sur les autres programmes nationaux de développement - tels que le Programme 2030 de développement durable des Nations Unies et l'Agenda 2063 de l'Union africaine - en adoptant une approche intégrée et une programmation conjointe.
A cet égard, le Centre Africain des Politiques Climatiques (CCAM) a mené une enquête semi-structurée pour faire le point sur la mise en œuvre de la CND en Afrique en vue d'aider les Etats membres à améliorer leur préparation et leur mise en œuvre. NDCs.
Note d'information