Le cours a pour objectif de renforcer les capacités des planificateurs, économistes et autres décideurs politiques impliqués dans la formulation des plans de développement nationaux afin de s’assurer qu’ils ont une bonne compréhension des approches en matière de planification du développement, des processus et des différents acteurs impliqués, ainsi que des étapes cruciales dans le processus de planification du développement.
L’objectif principal de ce cours est de contribuer à la création d'une masse critique de cadres, de hauts fonctionnaires et de décideurs hautement qualifiés qui seront convenablement ou mieux outillés pour recueillir et / ou analyser des données relatives à la planification, la mise en oeuvre et le suivi/évaluation du développement aux niveaux national, sous-régional et régional. Il s’agira, plus précisément dans ce cours, d’offrir une formation sur les différentes méthodes et manières de collecter des données et de les analyser.
Le principal objectif du cours est de contribuer à l'élaboration d'une masse critique de cadres de politique et de décideurs de niveau intermédiaire et supérieur hautement qualifiés qui seront convenablement ou mieux équipés pour concevoir et gérer des politiques commerciales dynamiques pour le développement de leur pays, sous-région et continent.
Le cours a pour but d'assurer une formation en politique agricole afin de renforcer et/ou de renouveler les connaissances et la capacité des décideurs africains, y compris les gestionnaires supérieurs, les négociateurs, les conseillers, les planificateurs et analystes, à faire face aux principaux défis en matière de développement du secteur agricole en tant que moteur central de développement économique et de politique sociale nationaux.
L'appel à une révolution des données a d'abord été lancé en 2013par le Groupe de haut niveau (GHN) du Secrétaire Général des Nations Unies composé de personnalités éminentes. Suite à cet appel, les organisations panafricaines, menées par la CEA, ont organisé une réunion ad hoc d'un groupe d'experts (RGE) pour réfléchir sur ce que cela signifiait et comment l'Afrique pouvait veiller à ce qu’elle mène elle-même sa mise en oeuvre sur le continent.
Addis-Abeba, 7 décembre2015 (CEA) – L’Afrique gagne la plupart de son argent de ses ressources naturelles, cependant le paradoxe est que les populations des pays riches en ressources naturelles sont pauvres en ressources. Une grande partie des fonds détournés d’Afrique par la transaction illicite est dérivée de ce secteur.
L'industrie extractive - l'extraction du pétrole et du gaz, les mines, les carrières et le dragage- peut être un catalyseur pour la croissance économique et le développement, mais il est un secteur très difficile à gouverner.
